Photo Julie
Les cloches de la paroisse sonnent le glas
Pour les obsèques de l’ancienne boulangère,
C’était une amie d’enfance de la fermière,
Elles avaient fait ensemble leurs premiers pas.
Mirabelle aussi va regretter son trépas,
A l’occasion de ses visites journalières,
Accompagnée parfois d’un enfant, la grand-mère
Lui apportait de quoi ravir son estomac.
La vache attendait impatiemment sa venue,
La queue en l’air accourait à sa vue,
Alors même qu’elle n’avait pas du tout faim !
Qui désormais viendra caresser son pelage,
Lui apporter du réconfort les jours d’orage,
Et lui confier discrètement tous ses chagrins ?
Vincent
Les cloches de la paroisse sonnent le glas
Pour les obsèques de l’ancienne boulangère,
C’était une amie d’enfance de la fermière,
Elles avaient fait ensemble leurs premiers pas.
Mirabelle aussi va regretter son trépas,
A l’occasion de ses visites journalières,
Accompagnée parfois d’un enfant, la grand-mère
Lui apportait de quoi ravir son estomac.
La vache attendait impatiemment sa venue,
La queue en l’air accourait à sa vue,
Alors même qu’elle n’avait pas du tout faim !
Qui désormais viendra caresser son pelage,
Lui apporter du réconfort les jours d’orage,
Et lui confier discrètement tous ses chagrins ?
Vincent
Il est vrai que les boulangères ont toujours un côté réconfortant.
RépondreSupprimerToutes mes condoléances à Mirabelle.
... se blottir entre leurs miches bien chaudes....
SupprimerJe lui transmettrai tes pensées, nul doute qu'elle y sera sensible.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerLes deuils sont de terribles épreuves! La photo de Mirabelle est comment dirais-je? captivante.
RépondreSupprimerJ'ai l'impression que la vie commence et se termine par un deuil.
RépondreSupprimerJ'ai l'impression que la vie commence et se termine par un deuil.
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